Une sanglante barrière

Proust: “Tels les Verdurin donnaient des dîners (puis bientôt Mme Verdurin seule, après la mort de M. Verdurin) et M. de Charlus allait à ses plaisirs sans guère songer que les Allemands fussent — immobilisés, il est vrai, par une sanglante barrière toujours renouvelée — à une heure d’automobile de Paris.”

Andreas Mayor: “So it was that the Verdurins gave dinner-parties (then, after a time, Mme Verdurin gave them alone, for M. Verdurin died) and M. de Charlus went about his pleasures and hardly ever stopped to reflect that the Germans — immobilised, it is true, by a bleeding barrier perpetually renewed– were only an hour by car from Paris.”